Récemment une amie a dû faire hospitaliser son fils de 1 an pour une infection grave.
Urgences, réanimation, service neurologique. Du lourd.
Son état empire malgré l'injection régulière de 3 antibios différents. Protocole.
L'enfant frôle la mort.
Mon amie, plutôt du genre à se renseigner à fond sur chaque sujet, lit les notices et contre-indications desdits antibios... : Toxicité grave si l'un est associé aux 2 autres !
Entre autres erreurs médicales.
Déni des médecins "on a toujours fait comme ça, circulez ya rien à voir"
Mais, fait rare, le lendemain, mea culpa de la Chef de Service qui reconnaît leur erreur. Et arrêt du traitement.
Rémission de l'enfant.
Erreur de protocole.
L'enfant a frôlé la mort.
Quand je vois le nombre de personnes qui font confiance aveuglément à ce que leur disent les "sachants" (médecins, politiques, pédiatres, directeurs de crèche, n'importe quelle "autorité supérieure", même quand ils se contredisent sans vergogne) sans remettre en cause quoi que ce soit, je suis assez effrayée.
Cf les files d'attente aux labos pour recevoir des injections expérimentales d'une entreprise pharmaceutique corrompue, et régulièrement "punie" par des amendes lourdes (incluses dans leur business plan, ne vous inquiétez pas pour eux), même après 2 ans de bobards avérés sur cette terrible maladie 19.
Cf les parents qui confient leurs bébés à des inconnus toute la journée, et ce dès 2 mois ½.
Et, j'attaque le sujet du billet, cf les femmes enceintes qui croient leurs gynécos sans (se) poser de questions.
Il ne s'agit pas de remettre en doute TOUT ce qu'ils disent (quoique) (le doute ayant de très nombreuses vertus).
Il s'agit de se prendre en main, d'embrasser sa propre responsabilité, ses choix, sa conscience, se renseigner, confronter les arguments, peser le pour et le contre, prendre le chemin de sa souveraineté... une démarche franchement libératrice.
Vertigineuse parfois.
Mais quelle force, quelle puissance d’avoir la charge de sa santé, son bien-être, son équilibre et celui de sa famille.
Tout ça pour introduire ici quelques raisons invoquées par le monde médical pour « aider la mère » pendant sa maternité (spoiler : en fait ils la sabotent)
Pour l’anecdote, j’avais dit une amie qui s’apprêtait à aller se faire déclencher à contre-cœur : « je te trouve 50 exemples de saboter le travail, bon peut-être pas 50 ok mais au moins 20 ». Et en 5 minutes de réflexion, j’en ai listé…60…
Pendant la grossesse, comment engendrer du stress, saper la confiance de la mère, et la préparer à la cascade d’interventions du jour J :
- Bébé « trop gros »
- Bébé « trop petit »
- Maman trop jeune
- Maman trop vieille (la "grossesse gériatrique" commence à 35 ans, mieux vaut en rire)
- 1er bébé
- Xème bébé
- Trop de liquide amniotique
- Pas assez de liquide amniotique
- Détection du streptocoque B à 36SA
- RH négatif de la mère
- Suspicion de malformations fœtales
- Présentation en siège
- Présentation regard vers les étoiles
- Jumeaux
- Anémie
- Bassin "trop étroit" vu à la radio pelvimétrique
- Une césarienne précédente
- Antécédents d'hémorragie
- Diabète gestationnel
- Placenta inséré bas
- Prises de sang et analyses mensuelles en tout genre.
- Date de terme dépassée de 1, 2, 3, 4 ou 5 jours selon les degrés acceptables par les maternités
- Suspicion de pré-éclampsie
Pendant la naissance, comment saboter le processus :
- Rythme cardiaque du bébé qui descend
- Rythme cardiaque de la mère qui monte en flèche
- Col qui ne s'ouvre pas assez vite
- Col qui s'ouvre trop vite
- Le gynéco n'est pas encore arrivé, arrêtez de pousser madame
- Salle d'accouchement pas disponible, on temporise la mère
- Salle d'accouchement disponible, on presse la mère
- Liquide amniotique teinté (présence de méconium)
- Fissure de la poche des eaux
- Touchers vaginaux
- Monitoring continus
- Bipbip anxiogènes dans la salle, qui s'arrêtent dès que la mère bouge un peu, laissant croire que le bébé est mort
- Interdiction de boire et manger pendant le travail
- Déclenchement
- Péridurale
- Utilisations d'instruments : Forceps, ventouses, ciseaux
- Poussée dirigée
- Position gynécologique, càd poulet de Bresse sous des néons et des inconnus autour de son intimité
- Délivrance dirigée du placenta, 30 minutes maxi à l’hôpital
- Présence de médecins inconnus, et maintenant masqués
- Imposition d'un timing d'accouchement
- Injection de syntocinon pendant la délivrance
- Clampage précoce du cordon
- On dit à la mère que le cordon est trop court
- Ou qu'il est enroulé autour du cou, du pied, du bras
- Ou qu'il y a un nœud de cordon
- Incompétence des médecins, formés à la pathologie mais pas du tout à la vraie physiologie.
- Petits pieds de la mère (véridique, certaines SF disent encore que quand on fait du 35-36, ça peut bloquer le passage du bébé)
- Maman trop sportive (périnée hypertonique)
- Périnée "pas assez" tonique
Après la naissance, comment perturber un peu plus le lien d’attachement :
- Pas de peau à peau immédiat, bébé emmené loin de sa mère dès sa naissance
- Bébé aurait besoin de soins réa
- Sabotage des 1ers jours d’allaitement (introduction de biberons de lait industriel)
- Stress autour de la prise de poids du bébé
- Bébé envoyé sous néons bleus pour cause de jaunisse
- Bébé laissé en pouponnière pour laisser la mère « se reposer »
Liste non exhaustive
Chacun de ces points peut faire l'objet d'un long article explicatif, tant il y a à dire.
On remarquera que ces raisons sont souvent invoquées suite aux échographies. On peut se demander la pertinence de subir et faire subir à son bébé, cette technologie non fiable et non anodine qui a notamment prouvé, sur des souris, la perturbation du développement neuronal au stade précoce.
Pour ne dire que ça sur ce sujet pour le moment. Hum.
Femmes, couples, reprenez votre autorité, renseignez-vous, demandez des contre-avis, respirez, écoutez-vous, soyez libres.
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